Homo sentiens
Normal que nous soyons touché⋅e⋅s, ému⋅e⋅s, que nous ressentions des émotions positives (joue, surprise, amour, …) et négatives (tristesse, peur, colère, …)
Nous ne pourrions pas vivre sans émotions, il s’agit donc de les connaître et d’apprendre à les réguler.
Les différentes intensités des émotions négatives
Les émotions fondamentales et secondaires
Six émotions fondamentales
Mises en évidences par le psychologue Paul Ekman :
- joie
- surprise
- tristesse
- peur
- colère
- dégout
Des émotions secondaires
Parfois plus complexes à identifier, pouvant résulter de la combinaison d’émotions de base.
Large éventail d’émotions secondaires
Honte, sympathie, embarras, culpabilité, envie, jalousie, gratitude, indignation, mépris, espoir, …
Travail en groupe : entre plaisir et insatisfaction
Travail en groupe : situation propice à faire émerger des émotions négatives, car rassemblant des membres :
- ayant chacun leur personnalité
- poursuivant des objectifs plus ou moins différents
- étant dans un état émotionnel passager plus ou moins positif
- vivant un quotidien plus ou moins facilitateur
Or, on ne vient pas au travail vierge de toute émotion.
Enquêtes effectuées auprès d’étudiant⋅e⋅s : un certain plaisir à travailler en groupe, mais avec une certaine insatisfaction.
Facteurs récurrents expliquant une implication faible ou moyenne :
- un trop grand nombre de participants dans l’équipe
- une timidité personnelle / un manque de confiance en soi / des difficultés à s’affirmer
- une impossibilité à se faire entendre dans le brouhaha
- une indifférence à l’égard du thème de travail
- des rôles mal distribués dans l’équipe, tout le monde ne trouve pas sa place
- une opposition au fonctionnement du groupe jugé inefficace
- un intérêt pour le travail en groupe, mais des affinités faibles avec les autres membres du groupe